8 mètres manquants pour que ce soit parfait

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Entre Toulouges et Canohès, cette piste cyclable longeant la 2×2 voies amène vers la zone commerciale et vers les zones d’emplois. Il manque juste un peu de bitume à cet endroit pour que ce soit parfait; En fait, c’est à ce demander si les concepteurs ont réfléchi au trajet qu’allaient faire les cyclistes : il est évident que ceux venant du fond de la photo ne vont pas aller à gauche puis à droite alors qu’ils veulent juste aller tout droit. D’ailleurs, les habitudes ont l’air prises au dépend du confort et de la configuration.

Les cannes de Provence bitumivores sont partout

La pousse des cannes de Provence perfore le bitume trop peu épais. Situation récurrente sur les pistes cyclables séparées des voies voitures, qui ont besoin de plus d’épaisseur de bitume et sont donc mieux protégées des « agressions » végétales. La poste de bordures métalliques enfoncées de part et d’autres de la voies cyclables permet d’éviter que les racines et autres pousses ne s’infiltrent par le dessous.

Rampe dangereuse

La roue s’est glissée entre le grillage et le bord des planches en bois (en rouge sur la photo), ce qui a provoqué une chute.

Au niveau de la rampe d’accès à la passerelle sur la Têt, rive gauche, du côté de l’avenue Torcatis, l’espace entre le bord des planches et la rambarde métallique est assez grand pour laisser passer un pneu de vélo, ce qui bloque la roue d’un coup. Résultat, une chute de vélo sur un ouvrage pourtant prévu pour les cyclistes.

Il faudrait prévoir de boucher ces trous (tasseau en bois par exemple).

Bordure en trop

Présence de la bordure gênante. Vue depuis le DSC, vers le passage entre les parcs.

Lorsqu’on remonte le Double Sens Cyclable, on tombe sur cette bordure prévue pour éviter que les voitures ne tournent. Sauf qu’en tant que cycliste, ça nous empêche de rejoindre facilement le passage pourtant sympa et pratique d’entre les parcs. Un coup de disqueuse suffirait pour permettre le bon passage des cyclistes.

Présence de la bordure gênante. Vue depuis le passage entre les parcs vers le DSC.

Plus de DSC aux Remparts Villeneuve

Au printemps 2016, le sens de la circulation automobile de la rue des Remparts Villeneuve a été modifié. Avant, cette rue située en zone 30 était en sens-unique en direction du centre ville. Maintenant, elle est en sens-unique du quai Vauban vers la place Catalogne. Avant cette modification, la rue était en double-sens cyclable. Elle ne l’est plus depuis le changement du sens-unique.

Rappelons que l’article R110-2 du Code de la route définit que dans une zone 30 « toutes les chaussées sont à double sens pour les cyclistes, sauf dispositions différentes prises par l’autorité investie du pouvoir de police. »

Végétation

Le trottoir/piste cyclable qui longe la rue François Rude en face de l’école Pont Neuf est envahi par la végétation ce qui réduit de moitié sa largeur. Un peu plus loin, une branche d’arbre a été taillé à 1m80 du sol ce qui est dangereux pour les cyclistes et même pour certains piétons.

Notons au passage que ce chemin n’est pas fléché comme piste cyclable bien qu’il fait parti d’une liaison vers Saint-Estève balisée par des panneaux verts et blancs.

Mise à jour 10 octobre 2017

Aucune amélioration, des branches plus grosses et plus basses !

Mise à jour mars 2018

L’arbre a enfin été taillé mais la végétation déborde toujours sur le trottoir.

10 octobre 2017 : des branches plus grosses et plus gênants

Mars 2018 : L’arbre a enfin été taillé
Mars 2018 : Sans intervention, la végétation gênera à nouveau la circulation dans quelques semaines

Les arceaux vélos du Palmarium squattés par les motos

Des arceaux vélo squattés par les motards, il y en a partout à Perpignan et la police n’intervient pas. Le cas des arceaux devant le Palmarium est particulier, car ils ont été installés suite à une concertation entre les services de la ville, les représentants des motards et Vélo en Têt

En 2015, Vélo en Têt a participé à plusieurs réunions avec les techniciens de la ville et des représentants des motards pour améliorer le stationnement des vélos et motos. Il a été décidé de supprimer les places des stationnements pour vélos aux aires de stationnements mixtes motos/vélos des deux côtés de la Basse, devant le Palais de la Justice et la BNP-Parisbas, pour dédier ces emplacements aux motos exclusivement. En contrepartie, trois (!) arceaux ont été posés devant le Palmarium.

Ces nouvelles places de stationnement ont immédiatement été squattées pas les motards. Il parait que la police municipale ne peut pas intervenir faute d’arrêté municipal réservant ces places aux vélos. Au final, on se retrouve avec moins d’arceaux vélo qu’avant.

Parking réservé aux vélos, rue Jeanne d’Arc

Manque ponctuel d’arceaux

Un bon endroit pour implanter des arceaux sans gêner les piétons.

Il n’y a pas de possibilité de garer son vélo près du Foyer Gerbé. Or, il y a de la place pour mettre des arceaux ici, sans gêner les piétons.

Remarque générale : il y a un nombre important de bornes antistationnement voiture ici, comme dans beaucoup de rue du centre ville. Je ne connais pas le prix d’une borne ni celui d’un arceau, mais les arceaux faisant la fonction d’une borne tout en permettant d’accrocher son vélo, il aurait être économique de placer des arceaux à la place de certaines bornes. Ce qui aurait permis de disposer des arceaux un peu partout en ville.

Bornes antistationnement mal placées

Les bornes placées empêchent l’accès au trottoir aux voitures. Mais gênent le passage et ne maintiennent pas le stationnement en dehors du couloir de circulation cyclable.

Empruntant 2 fois par jour cet endroit, je suis souvent gêné par la présence de voiture stationnée trop près de l’entrée de cette piste cyclable. On ne peut pas en vouloir aux automobilistes, il n’y a ni peinture ni borne leur indiquant que leur stationnement serait gênant.

La peinture de la bande cyclable en DSC s’arrête nette tout comme commence celle de la bande cyclable sur trottoir : à seulement 1m50 l’une de l’autre, elles ne sont pas reliées entre elles. De plus, la transition entre les deux se fait par un virage brusque.

La position des bornes antistationnement empêche l’accès au trottoir aux voitures mais gênent le passage et ne maintiennent pas le stationnement en dehors du couloir de circulation cyclable. De plus, l’espace entre ces bornes accumule étroitesse, trou et bordure secouante. De quoi se faire surprendre la nuit, ce qui a du arriver, vu la peinture originale des bornes.

On pourrait imaginer retirer ces 2 bornes et les mettre avant la petite pente du trottoir et de manière plus espacées : facilité de circulation, non accès au trottoir pour les voitures et arrêt de stationnement gênant seraient réunis.

Remarque : tout le quai de Genève bénéficie d’un grand nombre de stationnements voiture, mais presque pas d’arceaux vélo.

L’espace central accumule étroitesse, trou et bordure secouante. De quoi se faire surprendre la nuit, ce qui a du arriver, vu la peinture des bornes.
On voit clairement que la voiture est trop avancée et quelle gêne la circulation naturelle des cyclistes. Une borne un peu plus à droite de l’emplacement actuel de la roue serait

Castillet – La Basse

Ceci n’est pas un simple point noir mais une grosse tache noire au cœur de la ville devant le Castillet. Nous avons déjà signalé le double sens cyclable (DSC) inempruntable devant les Galeries Lafayette qui rend le passage impossible dans le sens nord-sud (zone [2] sur l’image ci-dessus). Avec le pont Magenta qui est en sens unique sans DSC [3] et le pont Larminat / place de la Résistance [1] où il y a trop de circulation automobile pour le traverser à vélo, traverser la Basse en respectant le code de la route et en sécurité devient pratiquement impossible :

  • En venant du nord par le couloir bus du quai François Battlo, il est interdit de tourner à gauche, donc aucun moyen de rejoindre la place de la Victoire, le boulevard Wilson ou le cours Palmarole. Il faut donc descendre du vélo, traverser le quai Battlo, traverser la Basse sur une des passerelles réservées aux piétons et ….
  • Quand on vient de l’ouest, de l’avenue due Général Leclerc, le Boulevard Clemenceau ou la rue des remparts Villeneuve, si on ne veut pas passer par le carrefour entre la place de la Résistance et le boulevard Wilson [1], il faut encore descendre du vélo et traverser la Basse entre les piétons