Bienvenue sur le site de Vélo en Têt !
Site pour une association qui milite pour l’usage du vélo comme moyen de transport dans l’agglomération de Perpignan
Saint-Estève. En application de la loi Laure, un aménagement a été réalisé avenue de L’aérodrome. Hélas, cet aménagent ne correspond à rien d’existant dans le code de la route. Un trottoir reste un trottoir, les priorités ne correspondent pas aux exigences réglementaires. Bref,inutilisable.
Il vaut mieux rouler sur la chaussée malgré les remarques désobligeantes d’automobilistes pressés.
Un aménagement non conforme et l’itinéraire devient dangereux.
Le seul stationnement vélo de la Caf est situé sur le trottoir du parking voiture et ne permet que de cadenasser la roue avant (à moins de mettre le vélo de travers (comme sur la photo) et ça prend toute la place). Le problème de cet équipement c’est que le voleur enlève la roue avant et part avec le reste du vélo…
Pour accéder à vélo à ce point stratégique (énormément de passage de public en voiture), il n’y a aucun balisage dédié, il faut prendre la route et se frayer un chemin au milieu de la circulation dense de l’entrée Est de le Perpignan…
Encore une fois, la bande cyclable s’arrête mystérieusement d’un seul coup. De plus, elle est utilisé pour stationné par les voitures de certains parents.
Voici le courrier adressé à la Mairie de Perpignan par un de nos adhérents :
Bonjour. Vous avez récemment repeint la voie cyclable qui couvre l’extrémité de la rue Mermoz, touchant l’avenue Guynemer. Cela veut dire que la sécurité des usagers, notamment aux abords des écoles (Romain Rolland, Arrels Cassanyes et La Salle St Jean), vous importe. Au nom de tous les parents d’élèves, je vous en remercie.
Le constat que je fais à titre personnel est que malgré le gilet jaune et les feux sur mon vélo, je me retrouve régulièrement dans des situations dangereuses avec ma fille à l’arrière, et ne me sens jamais en sécurité sur le trajet quotidien maison-école.
Voici deux propositions qui permettraient certainement d’améliorer la situation :
1) Difficile de comprendre pourquoi la piste cyclable s’arrête brutalement (après seulement 120m) au premier croisement (bds Mistral-Cayrol), alors que les cyclistes (pour la plupart des parents d’élèves) continuent bien évidemment leur route vers les quartiers Las Cobas et St Gaudérique. Il serait judicieux de poursuivre la piste cyclable sur l’avenue Mermoz, jusqu’au parc Sant Vicenç, où de nombreux enfants ont l’habitude d’aller jouer après l’école. Et sur la rue Paul Rubens qui dessert un grand nombre de rues perpendiculaires où habitent les enfants qui fréquentent les écoles sus-citées.
2) Concernant les voies cyclables existantes, le problème qui se pose est que les véhicules motorisés ne respectent pas la délimitation et empiètent partiellement ou totalement sur cette bande cyclable lorsqu’ils sont en circulation, ou en stationnement (très fréquent matin et soir car certains parents s’y garent le temps de déposer leurs enfants). Il serait judicieux de les séparer des véhicules motorisés par des boudins de type « chenille » ou un petit trottoir, comme sur le pont de l’avenue Roudayre (4ème pont, jaune ; NDLR).
Cela fait d’une « voie cyclable », une « piste cyclable » où les usagers peuvent circuler en toute sécurité.
Avec l’aménagement des voies de circulation pour les transports non motorisés, il y a un triple enjeu : la sécurité, la santé et le confort des habitants. Je ne doute pas que vous avez conscience de cela et espère que vous pourrez répondre favorablement à cette demande.
À toutes fins utiles, je vous laisse mon numéro de téléphone pour en discuter.
Cordialement,
XXX
par Étienne Braud
Dans le quartier résidentiel de Las Cobas, les voitures traversent souvent à vive allure alors qu’il n’y a pas assez de visibilité sur les nombreuses intersections qui sont toutes en priorité à droite.
A l’intersection entre la rue Maillol et la rue Violet (qui monte/descend fort), la photo illustre bien le problème : les automobilistes qui descendent passent sur la voie de gauche, à contre-sens, pour éviter le petit terre-plein pavé au centre de la rue. Ils arrivent donc, souvent rapidement, dans le virage, sans visibilité et potentiellement face à un usager (voiture, moto, vélo, piéton) qui monterait la rue Violet pour aller vers la rue Maillol, ou qui traverserait simplement pour se rendre au joli point de vue qui domine les jardins Saint-Jacques.
La réduction de la vitesse est donc la seule solution pour que tous puissent circuler de manière sereine.
Un courrier a été adressé à la mairie de Perpignan par un de nos adhérents :
Bonjour.
Je sais par expérience que vous prenez en compte les demandes justifiées, notamment quand il s’agit de la sécurité des usagers.
Vous le verrez bien illustré sur la photo. De nombreux automobilistes arrivent très vite dans le virage du haut de rue Gustave Violet en venant de la rue Aristide Maillol, ne respectant pas la limitation de vitesse de 30km/h. Par suite la plupart prennent le virage par l’extérieur (peut-être pour éviter la zone pavée) et se retrouvent donc face aux usagers (voitures, vélos, piétons) qui montent vers le château d’eau ou traversent la route. Si vous connaissez le quartier, c’est une zone où il y a toujours des piétons qui promènent leurs chiens parce qu’il y a une grande friche dans la pente.
Pour ma part, j’emmène ma fille à l’école à vélo et je me retrouve très régulièrement dans des situations dangereuses et le plus frustrant, je me sens impuissant.
J’ai beau ressembler à un sapin de Noël avec des lumières et gilet jaune, quand la voiture roule vite et se retrouve en face dans le virage, ça ne change pas grand chose…
Nous avons donc dans ce virage/carrefour un double problème : celui de la vitesse et celui du sens de circulation qui n’est pas respecté dans le début de la descente vers la rue Rosette Blanc.
Concernant les solutions, je m’en remets à vous mais il me semble important de ralentir les automobilistes qui montent la rue Maillol vers le château d’eau (rappel Zone 30/panneau avertissant de la traversée de piétons/ralentisseur vers le numéro 16). Ensuite, peut-être mettre un passage piétons en haut de la rue Gustave Violet.
Concernant le virage à contre-sens, à part mettre un terre-plein pour séparer les voies de circulation, je ne sais pas trop…
En tous les cas je vous remercie par avance pour l’attention que vous porterez à notre demande. Je vous laisse mon numéro de mobile pour éventuellement en discuter : XXXXXXX. Les habitants du quartier et moi-même sont à votre disposition pour dialoguer et trouver le meilleure solution.
Cordialement,
XXX
Tout d’abord la présence de trottoirs avec des bateaux qui « tapent » lorsque l’on passe en vélo. J’avoue ne pas avoir souvent vu de piétons pour utiliser ces trottoirs. Notez sur la deuxième photo le bateau pour desservir un chemin ! Un saut supplémentaire ! Et encore un petit saut en revenant au niveau de la voirie sur la photo3. Ensuite, la traversée de la piste cyclable. n’est pas matérialisée au sol. La route n’est autre que la bretelle venant de la voie rapide nord. Les automobiles arrivent lancées et aucune signalétique n’indique la présence éventuelle de cyclistes qui arrivent masqués par l’enrochement. Et bien sûr, c’est au cycliste de s’arrêter et d’être vigilant. Photo 4, encore plus délicat, les voitures arrivent de Saint Estève et prennent (ou pas) a droite (avec ou sans le clignotant). Le cycliste arrivant dans le même sens ne peut que s’arrêter et doit très vite relancer pour franchir la bretelle car les automobiles arrivent vite. Photo 4, bretelle de sortie sans visibilité des cyclistes venant de sous le pont et sans signalétique piste cyclable les prévenant. Notez la végétation sous le pont sur la piste cyclable.
Le débat n’est pas réellement tranché sur les ronds points (voir fiche Cerema Vélos et giratoires). Dans tous les cas, signalétique insuffisante et trottoir inutiles.
Personnellement, sur cette série de ronds points, je reste sur la chaussée, je garde la priorité et j’évite de faire du gymkhana sur la piste cyclable. Par contre, je suis très visible de jours comme de nuit (gilet, éclairage), je signale mes intentions de direction et je reste vigilant !
Et oui, pour aller ou revenir du boulot, on cherche à aller vite, même en vélo.
Les articles R.415-3 et 4 indiquent que tout conducteur qui change de direction doit céder le passage aux cycles et cyclomoteurs circulant dans les deux sens sur les pistes cyclables qui traversent la chaussée sur laquelle il va s’engager.
L’article 415-14 indique que pour l’application de toutes les règles de priorité, une piste cyclable est considérée comme une voie de la chaussée principale qu’elle longe.
Superbe modification depuis notre rappel de la réglementation accessibilité : un garde corps partiel !
Allez, encore un petit effort pour être aux normes, il ne manque plus que :
-une bande podotactile pour prévenir du dénivelé,
-une bande de contraste pour les mal voyants,
-supprimer les chicanes de l’accès coté théâtre de l’archipel pour qu’elle redevienne accessible aux fauteuils ou aux poussettes double.
Bien sûr, la solution rampe d’accès droite mentionnée dans le précédent article aurait pu réconcilier les piétons, poussettes, personnes à mobilité réduite et cyclistes.
Bis repetita : Si les techniciens sollicitaient les représentants des utilisateurs (Vélo en Têt pour les cyclistes par exemple) pour valider leur projet, les défauts pourraient être décelés et corrigés avant même d’arriver sur site et d’atterrir parmi nos points noirs…
Dommage, un si bel ouvrage !
La réalisation et l’entretien ne sont pas assez soignés pour les quelques équipements dont nous disposons. Ils se détériorent vite. Reprise du texte d’Étienne concernant la voie verte sur l’Agly. La pousse des cannes de Provence perfore le bitume trop peu épais. Situation récurrente sur les pistes cyclables séparées des voies voitures, qui ont besoin de plus d’épaisseur de bitume et sont donc mieux protégées des « agressions » végétales. La poste de bordures métalliques enfoncées de part et d’autres de la voies cyclables permet d’éviter que les racines et autres pousses ne s’infiltrent par le dessous.
Dans la continuité de l’itinéraire depuis Peyrestortes au rond-point du Moulin à Soufre. Aucune signalétique pour indiquer la traverse alors qu’elle existe dans l’autre sens au niveau de l’accès Rombeau. Enfin, elle existait… Il manque aussi une signalétique au sol pour matérialiser la voie cyclable. Dommage pour les touristes en famille voulant rejoindre la voie verte depuis Baixas ou Peyrestortes. Il faudra qu’ils passent par la route et le plus souvent qu’ils prennent leur voiture. C’est plus simple.
Arrivée sur le début de la piste cyclable menant au fameux rond point de l’aéroport depuis Peyrestortes par l’itinéraire cyclable passant sous la D117. Un début de signalétique bien insuffisant. Rien pour prévenir les automobilistes d’une traversée éventuelle de cyclistes. Pas de signalétique pour diriger vers la traverse reliant Rivesaltes entre le moulin à soufre et le domaine Rombeau. Pas de signalétique au sol.
Sur cet aménagement qui devrait être une voie cyclable haut niveau de services entre un pôle de 10000 habitants et Perpignan. L’arrivée de la rampe terminant la voie cyclable longeant Clodion depuis Saint Estève. Il y eu une piste cyclable. Un ralentisseur (pour voitures) judicieusement placé à ce niveau permettrait de préserver cette continuité tout en ralentissant les véhicules depuis ou vers la cité Clodion. De plus, cela éviterait de taper sur des bateaux ou comme c’est le cas actuellement, sur l’absence de bateaux.
La traversée est néanmoins possible en poursuivant sur le trottoir vers le passage piéton idéalement situé en sortie de rond point sans visibilité en raison de la végétation. Les deux photos du passage piéton sont espacées d’environ une seconde. Cette végétation a été taillée depuis.
Je vous laisse apprécier les circonvolutions des aménagements cyclables sur la carte
