
Météo parfaite, revêtement très agréable en site propre tout du long, cerisiers croulant sous les fruits, et en plus, visite guidée du château d’Aubiry !
Voir la description du parcours




Bienvenue sur le site de Vélo en Têt !
Site pour une association qui milite pour l’usage du vélo comme moyen de transport dans l’agglomération de Perpignan
Météo parfaite, revêtement très agréable en site propre tout du long, cerisiers croulant sous les fruits, et en plus, visite guidée du château d’Aubiry !
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La Véloroute Voie Verte en Pays Pyrénées Méditerranée est un itinéraire vélo sur près de 90 kilomètres, idéal pour faire des balades à la journée ou pour en faire une étape d’un vélo-voyage au-delà de la frontière. Ce bel itinéraire est une partie de la grande boucle trans-frontalière Pirinexus et du grand itinéraire européen Eurovélo 8.
La véloroute se découpe en trois tronçons :
Entre Argelès-sur-Mer et Le Boulou, la véloroute longe la D618 sur des petites routes sans beaucoup de circulation avec quelques passerelles sur des cours d’eau comme seuls aménagements cyclables. Parcours assez monotone.
Pour la partie Le Boulou – Arles-sur-Tech, voir ici.
Au niveau de Le Boulou vous pouvez poursuivre l’itinéraire de l’Eurovélo 8 et de Pirinexus par une voie verte et des chemins agricoles pour rejoindre le village de Maureillas, connu pour ses forêts de chêne liège et leur exploitation et son musée du liège.
La suite de l’itinéraire vers le col de Panissars demande une bonne condition physique en raison du dénivelé important notamment jusqu’au hameau de Riunoguers, dont le cheminement se fait sur une petite route de montagne à faible circulation. Après Riunoguers, l’itinéraire est plus facile et se déroule au milieu d’une magnifique forêt de chêne liège. Au col de Panissars, se trouvent les ruines d’un prieuré médiéval construit sur les vestiges du Trophée de Pompée, Sainte-Marie de Panissars. A proximité, le Fort de Bellegardedomine le col; cette fortification caractéristique de Vauban se visite. En poursuivant le parcours de quelques mètres, vous franchissez la frontière et vous trouvez en Espagne.
L’itinéraire emprunte la route départementale D115 et monte jusqu’au Col d’Ares qui culmine à 1 513 m. Il est beaucoup plus fréquentée par les voitures que les deux autres tronçons, est est conseillé aux cyclistes possédant une très bonne condition physique et une expérience du vélo sur route.
Cet itinéraire qui fait partie de la Véloroute Voie Verte en Pays Pyrénées-Méditerranée est un des plus beaux itinéraires cyclable du département. Pas vraiment une voie verte puisque les véhicules à moteur sont autorisés pour la desserte agricole et pour les riverains sur une bonne partie du parcours, cette véloroute / voie verte n’en reste pas moins très agréable sur le 25 km concernés et très bien balisée. Entre Amélie-les-Bains et Arles-sur-Tech l’itinéraire jalonnée (4km) présente deux barrières difficiles à franchir, et 400m de chemin en terre très étroit.
Elle emprunte par endroit des petites routes bucoliques bordées de cerisiers, par endroit l’ancienne voie ferrée et zigzague avec le sauvage Tech et la départementale 115. Il nécessite donc une dizaine d’ouvrages très variés, un vrai festival : passerelle moderne construite par le Conseil Départemental, pont du 14eme siècle, tunnel, ponts de la voie ferré parfois utilisés au dessus mais aussi en dessous.
Hormis pour traverser une partie de Céret, une partie d’Amélie et les deux derniers km pour arriver à Arles, la véloroute est bien isolé de la départementale et de ses nuisances sonores et atmosphériques. Le revêtement est bien roulant sauf une zone pierreuse entre Amélie et Arles (qui a en revanche le mérite de passer tout près du Tech et donc en permettre l’accès).
En dehors du pont du Diable et de l’abbaye d’Arles, l’intérêt historique de ce trajet est de passer tout près du château Aubiry et de ses serres exceptionnelles bien qu’en ruine.
Description de l’itinéraire sur le site de l’AF3V
Vous avez envie d’être plus rassurés lorsque vous êtes à vélo ? Vous ne savez pas comment faire? Ces 10 commandements sont fait pour vous !
A partir de l’expérience de plusieurs de nos membres, nous avons concoctés un résumé des principaux conseils utiles à tous cyclistes. Pensez à le partager autour de vous.
Si cela ne suffit pas pour vous balader sereinement à vélo, vous pouvez toujours prendre un ou deux cours à notre vélo-école. Le premier cours est gratuit pour nos adhérents, profitez-en !
par Étienne Braud
Faisant le trajet d’Estagel jusqu’au Barcarès, nous avons eu plaisir à emprunter entièrement la voie verte de l’Agly. L’entretien est plutôt bon globalement, mis à part des barrières cassées ça et là.
Par contre, à cet endroit, la végétation n’a pas été broyée et les cannes de Provence (??) prennent fortement du terrain et vont détruire tout le bitume rapidement si rien n’est fait. Je pense que c’est un défaut d’entretien lié à la commune de St Laurent de la Salanque car un peu avant et un peu après c’est assez bien entretenu entretenu.
Autre détail, juste avant le dernier pont, le Baracarès était indiqué à 12,6km au lieu de 2,6km.
J’ai trouvé qu’il manquait clairement des panneaux pour trouver la voie verte à rivesaltes.
par Étienne Braud
La passerelle sur la Têt se veut être un promenoir où les cyclistes sont tolérés à allure modérée. Seulement, pour monter sur ce pont, il y a un escalier à chaque extrémité. Heureusement, il a été prévu des goulottes pour pousser son vélo dans les escaliers.
C’était sans compter l’écart pas assez important par rapport à la rambarde et son filet-en-inox-très-beau-très-cher-qui-se-prend-dans-les-pédales.
Résultat : coté théâtre, la goulotte droite est inutilisable, la goulotte de gauche est peu utilisable (il faut courber excessivement le vélo.
Une goulotte centrale aurait été préférable. En effet, elle aurait laisser les rambardes aux enfants et aux seniors et permis aux vélos avec guidons larges ou sacoches d’être montés ou descendus facilement. Au lieu de ça, les goulottes en place créent un espace gênant entre la rambarde et l’endroit où on met les pieds sans même remplir leur rôle.
par Étienne Braud
Lorsqu’on emprunte cette piste cyclable (obligatoire normalement), on ne peut pas tourner à gauche pour aller vers les résidences. inversement, si on vient des résidences, on ne peut pas prendre la piste cyclable.
En fait, sur cette grande ligne droite, le choix a été fait de transformer les bandes cyclables, qui existaient de part et d’autres de la chaussée, par une piste cyclable à double sens séparée de la chaussée par une bordure de béton de 15cm de haut. Un choix sans doute expliqué par la ligne droite qui laisse présager une vitesse importante des voitures. Il s’avère que cette intersections n’a pas été pris en compte. Il aurait mieux valu mettre en place des ralentisseurs pour voiture qui laissent passer les cyclistes et garder les bandes cyclables. Sur l’intersections suivante, le fait d’être séparé physiquement de la chaussé empêche un éventuel placement à gauche si on veut tourner. On est donc obligé de s’arrêter avant de tourner et de céder la priorité aux voitures.
Résultat : je n’emprunte pas cette piste cyclable trop sécurisée car elle ne me permet pas de tourner dans de bonnes conditions à l’endroit voulu. Je me retrouve sur une chaussée plus étroite avec à droite un espace qui ne sert à rien (je ne vois jamais de vélo dessus).
Ci dessous : Heureusement qu’il y a une bouche d’égout pour créer une discontinuité dans ce muret en béton, mais ce n’est pas satisfaisant.
On retrouve la même chose à d’autres endroits, notamment à Bompas où il n’y a malheureusement pas de bouche d’égout pour créer un passage. Le chemin tout tranquille pour relier le Haut Vernet, visible juste derrière le haut (1m) muret en béton, n’est accessible que si on porte son vélo par dessus la barrière.
Nous avons réuni dans un seul et même document, que nous avons diffusé aux collectivités, tous les principes d’aménagement de l’espace public que nous défendons :
par Olivier Brun
Depuis au moins 20 ans le Conseil Départemental 66 (CD) a inscrit dans son schéma directeur départemental des voies cyclables, le prolongement de la voie verte de l’Agly , de Rivesaltes jusqu’à Estagel. Depuis au moins 10 ans le CD nous répond quand on l’interroge à ce sujet que ce n’est pas prioritaire. (Courrier de Jacques Martin, directeur des routes du 11/03/09 arguant que « des itinéraires en site calme existent à ce jour jusqu’à Estagel ») Le projet national de V81, véloroute du piémont pyrénéen qui relie la Méditerranée à l’Atlantique entre Le Barcares et Bayonne, en traversant 5 départements bute aux portes de notre département, à Galamus. Le CD de l’Aude ayant de son coté « terminé » sa partie. Sollicité sur les projets du CD concernant cette V81 par notre courrier du 15 décembre 2012 Mr Martin nous écrit le 17 janvier 2013 « Nous sommes preneurs de toute proposition de tracé “ Nous avons en 2013 proposé, puis testé avec un groupe de cyclistes de l’AF3V, notamment grâce à Julien Savary, un itinéraire pour que cette V81 avance dans le département. Au nom de l’AF3V il a envoyé une proposition de tracé très précise aux élus et techniciens en avril 2013.
La présidente du CD , Hermeline Malherbe, nous a répondu le 25 juillet 2013 que ce projet « présente un grand intérêt pour mon département » et nous a conseillé de nous rapprocher de son adjoint Jean Louis Alvarez, ce que nous avons fait. M Alvarez nous a répondu le 27 septembre 2013 que « au cours de l’année 2014 des études seront menées à mon initiative en concertation ». L’année 2014 se passant sans que nous ne voyions rien venir nous demandons à rencontrer Muriel Llugany , responsable mobilité et routes durables au CD ce qu’elle accepte le 16 octobre 2014. Nous lui faisons part de notre inquiétude sur le fait que le contournement routier d’Estagel risque de compromettre notre proposition d’itinéraire surtout si elle n’est pas étudiée parallèlement. On nous promet plan et réunion… Relancé par courriel elle nous répond le 17 novembre 2014 qu’on va « vous renvoyer un plan plus détaillé sur la continuité cyclable proposée dans Estagel une fois l’aménagement réalisé d’ici la fin de la semaine. On souhaite vous rassurer que le fait que la prise en compte des modes actifs est systématique maintenant dans nos projets neufs.” A ce jour malgré plusieurs relances nous n’avons toujours pas vu ce “plan détaillé”… Ne voyant pas non plus venir de date de réunion venir, nous avons relancé à plusieurs reprises le CD qui a fini par nous répondre « rien avant les élections de 2015 » Nous avons patiemment attendus ces élections et Muriel llugany nous affirme au lendemain de ces elections et de ses entretiens avec René Olive le successeur de Mr Alvarez que “La révision du schéma intègrera la réalisation en priorité de la v81 donc on va pouvoir rapidement faire de la concertation autour de cet itinéraire d’autant plus que les autres conseils départementaux souhaitent une mise en service la plus rapide possible quitte à ce que l’amélioration du service soit graduelle, sur trois ans par exemple.”
On est mi-2015, il est urgent que les décideurs décident de passer aux actes … enfin !
Le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA) est un établissement public qui édite notamment tous les guides pour les aménagements Vélo. Le 12 mai, Perpignan a reçu la visite de l’ensemble de ses correspondants Vélo régionaux, qui s’intéressaient surtout aux doubles sens cyclables – DSC – (grâce à notre actualité juridique), ce qui nous a permis de faire une balade urbaine de 3h, pour une fois à vélo, avec l’ensemble des collectivités (Ville, Agglomération, Conseil Départemental).
Quelques réactions et discussions au cours de cette balade :
Évoqué avec la mairie :
Retour général du CEREMA :