Depuis le passage du quartier Las Cobas en zone 30 avec de nombreux double-sens cyclables, les habitants de ce quartier pourraient se rendre en ville en toute sécurité s’il n’y avait pas une grosse discontinuité cyclable comme on a l’habitude de voir un peu partout dans Perpignan. Il n’existe aucun aménagement pour traverser la piste cyclable en face qui descend jusqu’au Palais de Congrès. A l’angle F.Mistral/A.France, on tombe sur trois voies très fréquentées par les automobilistes. Pas de feu ni passage piéton, une séparation centrale en béton avec un seul passage qui ne mène pas vers le trottoir d’en face mais droit sur le Cours Lassus qui monte à cet endroit.
En face, il y a in mini-bande cyclable. C’est la récompense pour ceux qui à l’aller ont réussi à traverser sans se faire écraser.
La force des rhizome de la canne de Provence est très importante, suffisante pour détruire le revêtement de bonne qualité de la Voie Verte.
Faisant le trajet d’Estagel jusqu’au Barcarès, nous avons eu plaisir à emprunter entièrement la voie verte de l’Agly. L’entretien est plutôt bon globalement, mis à part des barrières cassées ça et là.
Par contre, à cet endroit, la végétation n’a pas été broyée et les cannes de Provence (??) prennent fortement du terrain et vont détruire tout le bitume rapidement si rien n’est fait. Je pense que c’est un défaut d’entretien lié à la commune de St Laurent de la Salanque car un peu avant et un peu après c’est assez bien entretenu entretenu.
Goulotte droite : pédale coincée dans le filet, vélo trop incliné.
La passerelle sur la Têt se veut être un promenoir où les cyclistes sont tolérés à allure modérée. Seulement, pour monter sur ce pont, il y a un escalier à chaque extrémité. Heureusement, il a été prévu des goulottes pour pousser son vélo dans les escaliers.
C’était sans compter l’écart pas assez important par rapport à la rambarde et son filet-en-inox-très-beau-très-cher-qui-se-prend-dans-les-pédales.
Résultat : coté théâtre, la goulotte droite est inutilisable, la goulotte de gauche est peu utilisable (il faut courber excessivement le vélo.
Une goulotte centrale aurait été préférable. En effet, elle aurait laisser les rambardes aux enfants et aux seniors et permis aux vélos avec guidons larges ou sacoches d’être montés ou descendus facilement. Au lieu de ça, les goulottes en place créent un espace gênant entre la rambarde et l’endroit où on met les pieds sans même remplir leur rôle.
Goulotte gauche : c’est mieux mais vraiment l’ennemi du bien.
Une belle ligne droite avec un muret de béton un peu trop continu…
Lorsqu’on emprunte cette piste cyclable (obligatoire normalement), on ne peut pas tourner à gauche pour aller vers les résidences. inversement, si on vient des résidences, on ne peut pas prendre la piste cyclable.
En fait, sur cette grande ligne droite, le choix a été fait de transformer les bandes cyclables, qui existaient de part et d’autres de la chaussée, par une piste cyclable à double sens séparée de la chaussée par une bordure de béton de 15cm de haut. Un choix sans doute expliqué par la ligne droite qui laisse présager une vitesse importante des voitures. Il s’avère que cette intersections n’a pas été pris en compte. Il aurait mieux valu mettre en place des ralentisseurs pour voiture qui laissent passer les cyclistes et garder les bandes cyclables. Sur l’intersections suivante, le fait d’être séparé physiquement de la chaussé empêche un éventuel placement à gauche si on veut tourner. On est donc obligé de s’arrêter avant de tourner et de céder la priorité aux voitures.
Résultat : je n’emprunte pas cette piste cyclable trop sécurisée car elle ne me permet pas de tourner dans de bonnes conditions à l’endroit voulu. Je me retrouve sur une chaussée plus étroite avec à droite un espace qui ne sert à rien (je ne vois jamais de vélo dessus).
Ci dessous : Heureusement qu’il y a une bouche d’égout pour créer une discontinuité dans ce muret en béton, mais ce n’est pas satisfaisant.
On retrouve la même chose à d’autres endroits, notamment à Bompas où il n’y a malheureusement pas de bouche d’égout pour créer un passage. Le chemin tout tranquille pour relier le Haut Vernet, visible juste derrière le haut (1m) muret en béton, n’est accessible que si on porte son vélo par dessus la barrière.
Les bouches d’égouts soutiennent la cause vélo 😉 !
« Accès » à la piste du chemin de Saint-Genis de Tanyères
La dernière section (Sud) du boulevard, entre le rond-point avec la D31 (Bas Vernet – Bompas) et le pont de la Déchetterie est en train d’être fignolée et la piste cyclable n’est pas encore finie. Par contre, la route entre ce rond-point et le rond-point avec la D1 (Perpignan Nord – Bompas) à l’entrée du Polygone Nord est en service depuis plusieurs années, dotée côté ouest d’une excellente piste cyclable en site propre – large et rapide, quoique peu utilisée.
Récemment (janvier 2015 ?) quelqu’un a « aménagé » le tronçon nord (de Vernet-Salanque jusqu’au Polygone) avec des tas de gros rochers et de terre. Qui et pourquoi ? Provisoire ou permanente ? La seule explication est que cela servirait à empêcher l’accès des voitures – mais je n’en ai jamais vu emprunter cette piste.
Voir la série de photos prises en allant du nord vers le sud.
Rond-point à l’intersection avec la D1Rond-point D1 / Polygone NordVue vers le nord au même endroitTraversé vers le Chemin de la PoudrièreAccès à la piste du Chemin de St.Genis des Tanyerès. Rétrécissement d’origineAccès au niveau du Chemin de St.Genis – rétrécissement créé récemmentpont sur le Rec de Vernet et PiaAccès au rond-point de Vives et l’entrée de la Cité Vernet-SalanqueRond-point à l’entrée de la Cité VivesRond-point avec la D3, au fond la continuation vers le pont de la déchetterie. La piste cyclable est encore en travaux.
Entre l’avenue Panchot et l’avenue Dalbiez, au niveau du lycée Arago, existe le « Passage Puiggary » pour l’aménagement duquel Vélo En Têt avait été consulté il y a quelques années : 2 voies ont donc été tracées, une pour les piétons, une pour les vélos. Mais par la suite, des chicanes, barrières anti-scooters, ont été installées, ce qui gêne considérablement la circulation des vélos, obligés de mettre pied à terre, d’un côté et de l’autre du passage, à tel point que beaucoup de cyclistes préfèrent contourner ce passage par les petites rues à côté, ce qui complique leur trajet.
C’est pourquoi le fléchage joli et sympa « itinéraire vélo » indiquant ce passage n’a pas lieu d’être.
Problème récurent de stationnement à cet endroit. La solution pourrait être de tracer le bande cyclable sur la voiture non ? ;- )
Allant du boulevard Michel Doutes vers l’université, il y a très souvent une voiture de garée sur la bande cyclable, juste dans le tournant de la rue Joseph Pal.
En plus, après avoir dépassé ce petit d’obstacle illégalement stationné, on constate que la bande cyclable s’arrête d’un coup. Ce qui est dommage car il ne reste pas bien long pour rejoindre le feu suivant, et ça ne nécessite qu’un peu de peinture blanche. Au moins, les automobilistes ne pourront pas confondre la route, qu’ils connaissent bien, avec ce qu’ils prennent pour une place de parking.
Arrêt inexpliqué de la bande cyclable qui aurait du continuer jusqu’au feu. Comme beaucoup d’autres, cet itinéraire manque de continuité, symptôme d’un manque de cohérence du réseau à l’échelle de la ville.
Bordure qui n’a pas sa place sur une piste cyclable sur laquelle on souhaite que les cyclistes roulent. En plus d’être vraiment pas agréables, les secousses peuvent faire crever ou même solliciter trop la fourche qui fatigue mécaniquement à la longue. Au passage, vous pouvez admirer ici le formidable patchwork de cette piste, également synonymes de secousses.
La piste cyclable de l’avenue Paul Alduy est très utilisée pour se rendre au Parc de Sports ou à l’Université. Et tous ceux qui la prennent ne peuvent que maudire les innombrables secousses qui la parsèment. En l’occurrence ici, celle au croisement avec la rue Comes Damian Hortela. Mais les plus embêtante, voire dangereuses, sont celles devant la piscine et le parc des sports, qui bénéficient en plus de l’aide des racines des pins défonçant la piste et qui mériteront un jour un point noir spécifique.
Cela ne parait pas grand chose mais ça secoue vraiment. En une demi heure, les services techniques pourraient mettre un terme à des années de galère sur cette piste qui comptent d’autres nombreuses secousses.