Bornes antistationnement mal placées

Les bornes placées empêchent l’accès au trottoir aux voitures. Mais gênent le passage et ne maintiennent pas le stationnement en dehors du couloir de circulation cyclable.

Empruntant 2 fois par jour cet endroit, je suis souvent gêné par la présence de voiture stationnée trop près de l’entrée de cette piste cyclable. On ne peut pas en vouloir aux automobilistes, il n’y a ni peinture ni borne leur indiquant que leur stationnement serait gênant.

La peinture de la bande cyclable en DSC s’arrête nette tout comme commence celle de la bande cyclable sur trottoir : à seulement 1m50 l’une de l’autre, elles ne sont pas reliées entre elles. De plus, la transition entre les deux se fait par un virage brusque.

La position des bornes antistationnement empêche l’accès au trottoir aux voitures mais gênent le passage et ne maintiennent pas le stationnement en dehors du couloir de circulation cyclable. De plus, l’espace entre ces bornes accumule étroitesse, trou et bordure secouante. De quoi se faire surprendre la nuit, ce qui a du arriver, vu la peinture originale des bornes.

On pourrait imaginer retirer ces 2 bornes et les mettre avant la petite pente du trottoir et de manière plus espacées : facilité de circulation, non accès au trottoir pour les voitures et arrêt de stationnement gênant seraient réunis.

Remarque : tout le quai de Genève bénéficie d’un grand nombre de stationnements voiture, mais presque pas d’arceaux vélo.

L’espace central accumule étroitesse, trou et bordure secouante. De quoi se faire surprendre la nuit, ce qui a du arriver, vu la peinture des bornes.
On voit clairement que la voiture est trop avancée et quelle gêne la circulation naturelle des cyclistes. Une borne un peu plus à droite de l’emplacement actuel de la roue serait

Castillet – La Basse

Ceci n’est pas un simple point noir mais une grosse tache noire au cœur de la ville devant le Castillet. Nous avons déjà signalé le double sens cyclable (DSC) inempruntable devant les Galeries Lafayette qui rend le passage impossible dans le sens nord-sud (zone [2] sur l’image ci-dessus). Avec le pont Magenta qui est en sens unique sans DSC [3] et le pont Larminat / place de la Résistance [1] où il y a trop de circulation automobile pour le traverser à vélo, traverser la Basse en respectant le code de la route et en sécurité devient pratiquement impossible :

  • En venant du nord par le couloir bus du quai François Battlo, il est interdit de tourner à gauche, donc aucun moyen de rejoindre la place de la Victoire, le boulevard Wilson ou le cours Palmarole. Il faut donc descendre du vélo, traverser le quai Battlo, traverser la Basse sur une des passerelles réservées aux piétons et ….
  • Quand on vient de l’ouest, de l’avenue due Général Leclerc, le Boulevard Clemenceau ou la rue des remparts Villeneuve, si on ne veut pas passer par le carrefour entre la place de la Résistance et le boulevard Wilson [1], il faut encore descendre du vélo et traverser la Basse entre les piétons

Le Boulevard Anatole France infranchissable pour les cyclistes

Depuis le passage du quartier Las Cobas en zone 30 avec de nombreux double-sens cyclables, les habitants de ce quartier pourraient se rendre en ville en toute sécurité s’il n’y avait pas une grosse discontinuité cyclable comme on a l’habitude de voir un peu partout dans Perpignan. Il n’existe aucun aménagement pour traverser la piste cyclable en face qui descend jusqu’au Palais de Congrès. A l’angle F.Mistral/A.France, on tombe sur trois voies très fréquentées par les automobilistes. Pas de feu ni passage piéton, une séparation centrale en béton avec un seul passage qui ne mène pas vers le trottoir d’en face mais droit sur le Cours Lassus qui monte à cet endroit.

En face, il y a in mini-bande cyclable. C’est la récompense pour ceux qui à l’aller ont réussi à traverser sans se faire écraser.

La végétation menace la très bonne Voie Verte de l’Agly

La force des rhizome de la canne de Provence est très importante, suffisante pour détruire le revêtement de bonne qualité de la Voie Verte.

Faisant le trajet d’Estagel jusqu’au Barcarès, nous avons eu plaisir à emprunter entièrement la voie verte de l’Agly. L’entretien est plutôt bon globalement, mis à part des barrières cassées ça et là.

Par contre, à cet endroit, la végétation n’a pas été broyée et les cannes de Provence (??) prennent fortement du terrain et vont détruire tout le bitume rapidement si rien n’est fait. Je pense que c’est un défaut d’entretien lié à la commune de St Laurent de la Salanque car un peu avant et un peu après c’est assez bien entretenu entretenu.

Autre détail, juste avant le dernier pont, le Baracarès était indiqué à 12,6km au lieu de 2,6km.

J’ai trouvé qu’il manquait clairement des panneaux pour trouver la voie verte à rivesaltes.

On voit clairement l’avancée des cannes de Provence sur le bitume.

La Passerelle de la Têt : accès mal conçu pour les vélos

Goulotte droite : pédale coincée dans le filet, vélo trop incliné.

La passerelle sur la Têt se veut être un promenoir où les cyclistes sont tolérés à allure modérée. Seulement, pour monter sur ce pont, il y a un escalier à chaque extrémité. Heureusement, il a été prévu des goulottes pour pousser son vélo dans les escaliers.

C’était sans compter l’écart pas assez important par rapport à la rambarde et son filet-en-inox-très-beau-très-cher-qui-se-prend-dans-les-pédales.

Résultat : coté théâtre, la goulotte droite est inutilisable, la goulotte de gauche est peu utilisable (il faut courber excessivement le vélo.

Une goulotte centrale aurait été préférable. En effet, elle aurait laisser les rambardes aux enfants et aux seniors et permis aux vélos avec guidons larges ou sacoches d’être montés ou descendus facilement. Au lieu de ça, les goulottes en place créent un espace gênant entre la rambarde et l’endroit où on met les pieds sans même remplir leur rôle.

Goulotte gauche : c’est mieux mais vraiment l’ennemi du bien.

Piste cyclable trop sécurisée

Une belle ligne droite avec un muret de béton un peu trop continu…

Lorsqu’on emprunte cette piste cyclable (obligatoire normalement), on ne peut pas tourner à gauche pour aller vers les résidences. inversement, si on vient des résidences, on ne peut pas prendre la piste cyclable.

En fait, sur cette grande ligne droite, le choix a été fait de transformer les bandes cyclables, qui existaient de part et d’autres de la chaussée, par une piste cyclable à double sens séparée de la chaussée par une bordure de béton de 15cm de haut. Un choix sans doute expliqué par la ligne droite qui laisse présager une vitesse importante des voitures. Il s’avère que cette intersections n’a pas été pris en compte. Il aurait mieux valu mettre en place des ralentisseurs pour voiture qui laissent passer les cyclistes et garder les bandes cyclables. Sur l’intersections suivante, le fait d’être séparé physiquement de la chaussé empêche un éventuel placement à gauche si on veut tourner. On est donc obligé de s’arrêter avant de tourner et de céder la priorité aux voitures.

Résultat : je n’emprunte pas cette piste cyclable trop sécurisée car elle ne me permet pas de tourner dans de bonnes conditions à l’endroit voulu. Je me retrouve sur une chaussée plus étroite avec à droite un espace qui ne sert à rien (je ne vois jamais de vélo dessus).

Ci dessous : Heureusement qu’il y a une bouche d’égout pour créer une discontinuité dans ce muret en béton, mais ce n’est pas satisfaisant.

On retrouve la même chose à d’autres endroits, notamment à Bompas où il n’y a malheureusement pas de bouche d’égout pour créer un passage. Le chemin tout tranquille pour relier le Haut Vernet, visible juste derrière le haut (1m) muret en béton, n’est accessible que si on porte son vélo par dessus la barrière.

Les bouches d’égouts soutiennent la cause vélo 😉 !

Enrochements sur la piste cyclable de la D82 (Bvd Nord-Est)

« Accès » à la piste du chemin de Saint-Genis de Tanyères

La dernière section (Sud) du boulevard, entre le rond-point avec la D31 (Bas Vernet – Bompas) et le pont de la Déchetterie est en train d’être fignolée et la piste cyclable n’est pas encore finie. Par contre, la route entre ce rond-point et le rond-point avec la D1 (Perpignan Nord – Bompas) à l’entrée du Polygone Nord est en service depuis plusieurs années, dotée côté ouest d’une excellente piste cyclable en site propre – large et rapide, quoique peu utilisée.

Récemment (janvier 2015 ?) quelqu’un a « aménagé » le tronçon nord (de Vernet-Salanque jusqu’au Polygone) avec des tas de gros rochers et de terre. Qui et pourquoi ? Provisoire ou permanente ? La seule explication est que cela servirait à empêcher l’accès des voitures – mais je n’en ai jamais vu emprunter cette piste.

Voir la série de photos prises en allant du nord vers le sud.

Passage Puiggary

Côté av. Dalbiez (passerelle sur le Ganganeil)

Entre l’avenue Panchot et l’avenue Dalbiez, au niveau du lycée Arago, existe le « Passage Puiggary » pour l’aménagement duquel Vélo En Têt avait été consulté il y a quelques années : 2 voies ont donc été tracées, une pour les piétons, une pour les vélos. Mais par la suite, des chicanes, barrières anti-scooters, ont été installées, ce qui gêne considérablement la circulation des vélos, obligés de mettre pied à terre, d’un côté et de l’autre du passage, à tel point que beaucoup de cyclistes préfèrent contourner ce passage par les petites rues à côté, ce qui complique leur trajet.

C’est pourquoi le fléchage joli et sympa « itinéraire vélo » indiquant ce passage n’a pas lieu d’être.

Côté av. Panchot