Sur cet aménagement qui devrait être une voie cyclable haut niveau de services entre un pôle de 10000 habitants et Perpignan. Des racines ont sévèrement détérioré la chaussée. Le risque de chute est important surtout de nuit. Pour éviter ce risque, les vélos qui connaissent le risque retournent sur la chaussée automobile. La mairie a été informée. Aucun travaux ni aucune signalisation pour prévenir du danger.
Sur une voie automobile, cela aurait été fait depuis longtemps.
Exemple caractéristique des aménagements créés ponctuellement sans réflexion globale.
Très joli petit bout de piste cyclable pour faire du roller dans le quartier mais sans intérêt pour du déplacement à vélo. Cela me rappelle les circuits de la prévention routière que nous pratiquions en cours élémentaire.
Sur cet aménagement qui devrait être une voie cyclable haut niveau de services entre un pôle de 10000 habitants et Perpignan. Deux véhicules stationnés. Franchissement du séparateur béton pour aller boire le café en face au point chaud. Le point chaud dispose bien sûr d’un stationnement véhicule.
Il manque des séparateurs physiques pour la piste cyclable. De manière générale, la piste cyclable n’est pas suffisamment identifiable.
Intersection avec une voie « apaisée ? » la traverse menant à Cases de Pène.
L’arrivée depuis Baixas par la piste cyclable est certes munie d’un stop, mais la visibilité sur l’arrivée des voitures depuis Cases de Pène est complètement masquée par les roseaux. Rien ne vient signaler une voie « apaisée » pour ralentir les voitures ni une intersection avec une piste cyclable. Les véhicules motorisés ont tendance à rouler vite sur cette voie apaisée.
La piste devrait être prioritaire comme la voie quelle longe. Une signalétique explicite au sol devrait matérialiser la piste cyclable. Une signalétique devrait prévenir les automobilistes d’une intersection avec une piste cyclable. Une signalétique devrait mentionner une voie apaisée avec rencontre possible de cycliste sur la traverse de Cases de Pène.
Notez la signalétique non entretenue avec le panneau en bas de son support.
L’article 415-14 indique que pour l’application de toutes les règles de priorité, une piste cyclable est considérée comme une voie de la chaussée principale qu’elle longe.
Cette passerelle pour piétons et vélos n’en finit pas de décevoir !
Si sa création apportait avec elle un espoir et une joie de pouvoir traverser en toute quiétude et tranquillité la Têt en dehors de la circulation autorisée, il est vrai que la première visite sur place nous a clairement désenchantés : escalier aux 2 extrémités, rampe d’accès réservée aux PMR (Personnes à Mobilité Réduite) avec des virages on ne peut plus serrés, gouttières pour pousser les vélos trop près des grillages,…
Les 2 précédents points noirs de la passerelle : – [Rampe dangereuse] (/wp-content/uploads/point-noir/rampe-dangereuse) (résolu, on ose croire grâce à notre remarque sur ce site) – La Passerelle de la Têt : accès mal conçu pour les vélos
Bref, les aménageurs sont passés à côté d’un des 2 types d’usagers pour qui cette passerelle onéreuse (~6 millions d’euros) a été créée : les cyclistes. Hé oui, il est prévu que les cyclistes doivent descendre de leur vélo pour le pousser sur les marches, et ce à chaque extrémité. Il était pourtant si facile de résoudre ce désagrément !
Nouvelle déception au rendez-vous : un escalier a été ajouté dans le virage de la rampe PMR côté Torcatis. Cette rampe est très utilisée par les piétons mais aussi les cyclistes. Dorénavant, dans ce virage, il faudra être particulièrement vigilant pour éviter de tomber dans l’escalier tout en évitant le nouveau flux de piétons qui emprunte ce trajet raccourci pour eux.
Entendons nous bien, Vélo En Têt se félicite qu’une amélioration pour les piétons ait vu le jour. Toutefois, on aurait pu imaginer sans mal de prolonger la rampe d’accès PMR tout droit, aménagement qui aurait réconcilié les cyclistes les piétons et les PMR avec ce côté de la passerelle.
Quand à l’autre côté, on repassera ! A moins que les institutions autorisent enfin le passage par la rampe d’accès pompiers ! Ce serait bien vu.
Si les techniciens sollicitaient les représentants des utilisateurs (Vélo en Têt pour les cyclistes par exemple) pour valider leur projet, les défauts pourraient être décelés et corrigés avant même d’arriver sur site et d’atterrir parmi nos points noirs…
Virage abrupt sans rambarde et désormais avec un passage piétonnier important
L’escalier virage où il ne faut pas tomber. On voit que la pente aurait put être prolongée.
La moitié de la piste cyclable est laissée à la végétation
Lorsqu’il pleut et qu’il fait beau et chaud, la végétation pousse. Hé oui, tous les ans au printemps dame nature donne du travail à bien des techniciens ! C’est le cas sur toute la piste cyclable le long de la Têt, qui va de la déchetterie de Perpignan jusqu’au rond point d’entrée dans Bompas.
Résultat : la piste est réduite de moitié.
Solution proposée : que les services techniques des 2 villes prévoient chaque année des passages chacun, alternés, à intervalle de temps espacé. Bref prévoir l’entretien.
La moitié de la piste cyclable est laissée à la végétationOn voit bien la peinture du milieu, avec une voie au 3/4 recouverte et l’autre voie à 1/4 recouverte.
Le parc Bir Hakeim a bénéficié de nombreux travaux, tant sur les végétaux en place que sur l’aménagement des cheminement et surtout de sa nouvelle entrée.
Pendant les travaux déjà, les grilles métalliques étaient dans cesse trop décalées sur le trottoir, générant systématiquement des gênes piétons vélos.
Maintenant que le parc est terminé, force est de constater que le nouvel aménagement de l’entrée a fait perdre de la largeur sur cette piste partagée avec les piétons. En effet, un abri bus a été placé, ce qui fait perdre une trentaine de centimètre. Mais c’est surtout les barrières autour des troncs des arbres qui réduisent fortement le passage des piétons et cyclistes, qui sont chacun obligés de ralentir fortement, de laisser passer les autres.
Une solution facile à mettre en place sans gêner le bon développement des arbres constituait en la construction de petits caillebotis en bois en demi cercle sur le coté du tronc en rapport direct avec la voie.
Vue éloignée : Barrière autour du tronc, restreignant la circulation pétion-vélo
La piste cyclable qui longe l’avenue de l’Abbé Pierre est dans un très mauvais état, probablement suite aux travaux de construction en cours sur le côté nord de l’avenue. En particulier, le revêtement d’une des deux voies de la piste a disparu sur un bonne centaine de mètres.
En rouge, on voit le détour provoqué par la construction de cet énorme rond point, qui fait disparaître l’ancienne liaison bien plus directe, en violet.
En rouge, on voit le détour provoqué par la construction de cet énorme rond point, qui fait disparaître l’ancienne liaison bien plus directe, en violet. Un rond-point de cette taille ne permet pas la réduction de la vitesse automobile et un plus petit aurait parfaitement joué son rôle sans mordre sur l’ancien tracé de la piste cyclable.
L’ouvrage dédié aux cyclistes, un tunnel de quelques mètres, est en construction. Le détour est grand, les virages sont trop francs pour être pris à une allure efficace.
De plus, les pistes cyclables sur les anciennes voies ferrées permettent normalement de garder l’emprise foncière laissant la possibilité à l’avenir de remettre en service une voie ferrée. Ce qui risque d’être complexifié par ce rond point.
L’ouvrage dédié au cyclistes apparaît en gris en haut à gauche. Le détour est grand, les virages sont trop francs pour être pris à une allure efficace.