Succès de l’opération de gravage !

Vélo En Têt avec l’association étudiante Énergie Citoyenne, dans le cadre de la Semaine de l’Environnement , animait samedi 5 avril 2014 place de la République un atelier de réparation de vélos et une opération de gravage contre le vol : l’inscription sur la cadre du vélo d’un numéro figurant dans un fichier national (Bicycode) permet de lutter efficacement contre le vol de vélos.

Vu le succès de la journée, d’autres opérations similaires seront programmées.

Vélo en Têt fait monter les candidats aux Municipales de Perpignan sur leur vélo !

Le parcours avait été choisi pour souligner quelques points noirs : le passage souterrain de la gare qu’il faut prendre à pied, l’étroit double sens cyclable de l’avenue Général de Gaulle qui se termine brutalement sur un trottoir, le rond point du 4° pont où il n’y a plus de feux pour laisser passer les piétons et cyclistes en sécurité, des rues où on est étroitement mêlé au trafic automobile comme l’avenue de Bompas et le pont Joffre où les vélos se sentent vulnérables. En revanche le groupe a été constater avec satisfaction le début des travaux de la passerelle tant attendue sur la Têt entre le théâtre et l’avenue Torcatis, et l’on pouvait percevoir aussi le plaisir de pédaler librement sous le soleil dans les quelques tronçons sécurisés.

SAMSUNG CAMERA PICTURES

L’équipée s’est ensuite rendue place de la République pour que chaque liste donne son sentiment et expose brièvement son programme face aux attentes fortes des cyclistes. Vélo En Têt a remis à chaque candidat des propositions précises pour aménager « Une ville apaisée et un espace partagé ». Celles-ci sont déclinées en 6 points  (voir lien) :

  • Un véritable réseau cyclable à l’échelle de la ville et au-delà
  • Une véritable politique de stationnement et de location vélos
  • Piétonisation complète du centre ville ancien à l’intérieur des rondas
  • Des rondas supports de transports en commun et circulations douces
  • Des pars relais véritables lieux d’intermodalité
  • Une véritable offre de transport en commun

Vélo en Têt veut peser à l’approche des élections municipales de Perpignan

A l’occasion de la soirée ciné-vélo du 15 octobre, l’Indépendant publie dans son édition d’aujourd’hui un grand article sur cette soirée et la position de l’association sur la politique de la ville en matière d’aménagements cyclables à l’approche des élections municipales.

L’article sur le site de l’Indépendant

L’Échappée du zèbre 2013

Cette année encore Vélo En Têt s’est joint au festival Jazz Zèbre pour proposer une sortie musicale à vélo nommée « L’Échappée du zèbre ». Dimanche 6 octobre, plus de 90 cyclistes ont pédalé pour assister à un concert dans le cadre millénaire du Monastir del Camp.

Le rendez-vous était fixé à 9 heures au pied du Castillet pour une balade de 24km par la piste cyclable de Canohès puis par des petits chemins à travers les vignes jusqu’à Passa. Le temps était magnifique et la vue sur le Canigou splendide.

Une fois le pique-nique sorti des sacoches (le vin et café étaient offerts), les spectateurs ont pu apprécier le quintet de jazz  « Papanoch ». Après le concert les cyclistes sont repartis pour rejoindre Perpignan par un itinéraire un peu plus court.

—–

—–

Le site de JazZèbre

Grande soirée Ciné-Vélo le 15 octobre 2013

Vélo En Têt en partenariat avec l’association étudiante Énergie Citoyenne a programmé une soirée spéciale au cinéma Castillet à Perpignan pour proposer en fin d’après-midi un atelier de réparation de vélos, gratuit, devant le cinéma (vu le succès, il a fallu faire la queue !)puis plus d’une cinquantaine de spectateurs a suivi la projection d’un documentaire sur l’histoire des Français à vélo « La Reine Bicyclette » de Laurent Védrine.Cela a permis d’engager une discussion pour souligner les nombreuses faiblesses du réseau cyclable dans l’agglomération et redéfinir les aménagements souhaitables afin d’encourager les citadins à prendre leur vélo.

Un apéritif bio a ensuite été offert avant de poursuivre avec le film « Wadjda » de Haifaa Al Mansour, plusieurs fois primé : une petite fille saoudienne rêve d’un vélo, ce qui ne se fait pas dans son pays…

Disparition de Thibaut Legaye, notre président

Avec le décès de Thibaut Legaye le 7 août 2013, à 49 ans, d’un cancer, notre association a perdu son Président. Celui qui depuis plus de 10 ans dominait tous les sujets, techniques, administratifs et politiques, au sens citoyen du terme. Il était particulièrement organisé, efficace et apprécié.

Mais elle perd beaucoup plus que cela, un vrai militant, un homme cohérent dans sa vie quotidienne comme peu le sont. Un citoyen concerné par tous les aspects de la société, un homme curieux et engagé, toujours prêt à la réflexion. Un homme rare,rayonnant d’énergie et d’intelligence, doué pour expliquer et convaincre.

Nous pensons que beaucoup d’interlocuteurs des collectivités locales, techniciens et personnalités politiques reconnaissaient en lui un homme de valeur, même dans leurs désaccords. Il était convaincu de la nécessité de passer à un modèle de société moins énergivore et plus durable et il trouvait dans le combat pour le vélo comme moyen de déplacement, un terrain de lutte concret pour ses idées.

On ne pouvait qu’être sensible à sa chaleur humaine, sa bonne humeur et sa convivialité. Il était difficile de se déplacer avec lui dans la ville sans qu’il rencontre de nombreuses personnes qu’il connaisse. Il était professeur d’informatique au lycée Picasso depuis 1989 mais aussi très présent dans de nombreux cercles en dehors du vélo. Il s’était engagé naturellement dans le mouvement écologiste mais était également bon vivant, musicien, chanteur, danseur et grand cinéphile.

Nous sommes profondément affectés par cette disparition. Nous pensons à sa famille, Il nous manquera beaucoup aussi mais nous poursuivrons son action au sein de Vélo En Têt afin de construire une ville plus saine, plus agréable et humaine au moyen des déplacements à vélo.

620 km de l’Atlantique à la Méditerranée … à vélo !

Ce jeudi, Vélo en Têt a accueilli aux gorges de Galamus la randonnée cycliste Atlantique-Méditerranée qui faisait étape à Maury avant de rejoindre vendredi 12 juillet Le Barcarès, après 620 km de routes et de chemins.

Les 40 cyclistes, qui sur leur passage rencontraient les élus pour demander aux collectivités locales d’aménager la « Véloroute du Piémont Pyrénéen » (V81) ont été accompagnés pour leur dernière étape par dix cyclistes de Vélo En Têt. Ils étaient attendus au Barcarès par un comité d’accueil qui affichait son soutien à la réalisation de cet équipement indispensable au développement du tourisme à vélo dans notre département, qui, par exemple, fait moins bien que ses voisins de l’Aude….

Douchés par un violent orage à l’arrivée jeudi soir à Maury, nos amis de l’AF3V (Association Française des Véloroutes et Voies Vertes) n’ont pas perdu leur enthousiasme et leur sens de la convivialité. Le soleil, vite revenu, les paysages remarquables découverts lors de leur passage dans notre département leur ont fait déclarer que c’était les deux plus belles étapes de leur périple. Il faut dire que le passage sous Quéribus, derrière le château de Jau, au milieu des vignes et des lauriers-roses en fleurs, avec le chant continu des cigales n’a laissé personne indifférent… Les arrêts, judicieusement choisis par Julien Savary, président d’AF3V-Sud et organisateur de la randonnée, ont permis à nos hôtes de découvrir le Domaine Victor à Maury, le Mas Amiel et aussi le Mémorial du camp de Rivesaltes. Le périple s’est terminé par le tout petit tronçon de la Voie Verte de l’Agly non encore condamné par les travaux. Quel plaisir à l’embouchure du fleuve de découvrir enfin la Méditerranée et ses milliers de parasols!

La Mairie du Barcarès avait préparé un rafraîchissement bienvenu et Alain Ferrand accompagné de son adjointe au tourisme a distrait quelques minutes de son agenda chargé en cette période de fêtes pour féliciter les randonneurs et promettre -en tant que vice-président de PMCA chargé du tourisme-de faire remonter leurs revendications aux élus.

Enquête publique sur le SCOT « Plaine du Roussillon »

Le dossier du SCOT peut être consulté dans les mairies des 84 communes du périmètre du SCOT. Il est aussi disponible en téléchargement sur le site du SCOT. Vous pouvez faire vos observations aux commissaires d’enquête lors des Permanences de la Commission d’Enquête Publique, dans les registres disponibles dans les mairies ou par courrier à la commission. A Perpignan, une permanence se tiendra le lundi 15 juillet de 9h à 12h au Service Urbanisme 11, Rue du Castillet.

Rendez vous vous aux permanences pour exprimer vos appréciations, suggestions et contre-propositions sur le projet de SCOT, ou faites le dans les registres en mairie ou par courrier.

Avis de Vélo en Têt qui sera soumis à la commission d’enquête lors de la permanence du 15 juillet :

Notre association a été associée à la concertation préalable sur le SCOT. Suite à la présentation du DOO aux associations en septembre 2012, notre association a formulé son avis sur le projet de DOO (lettre du 17 octobre 2012 présente dans les annexes au bilan de la concertation) et a reçu des éléments de réponse par courrier du président du SCOT en date du 12 décembre 2012.

Concernant l’enjeu du développement des modes doux de déplacements et notamment du vélo, nos remarques ont pu conduire à une rectification de la rédaction des § C.7 du DOO, et notamment à la distinction de la pratique du vélo dans un but de report modal (§C.7.2) et de valorisation du territoire (§C.7.3). Bien que le titre du §C.7.2 n’ait pas été changé (la réponse du SCOT de décembre 2012 prévoyait le titre ‘Améliorer l’offre cyclable dans un but de report modal’, ce qui nous semblerait bien plus cohérent avec son contenu et rendrait plus lisible son objectif), nous nous félicitons de l’intégration d’un certain nombre de nos remarques dans le § C.7.2, notamment :

-* la mise en avant des schémas cyclables communautaires et la précision que le la révision du PDU de l’agglomération devra « s’attacher à préciser les liaisons cyclables sécurisées et structurantes entre Perpignan et les communes de première couronne. » : l’enjeu de report modal se situe en effet sur la ville centre et sa première couronne, et nous continuons à regretter que la carte ne zoome pas sur les principaux axes à développer.

-* « l’attention toute particulière [qui devra] être portée sur la permanence et la continuité des chemins ruraux et autres chemins de traverses qui participent de manière indirecte au maillage cyclable du territoire. », continuité aujourd’hui trop souvent mise à mal par les projets routiers avec ‘effet de coupure’

-* La prise en compte de l’effet de ‘squatt’ des 2 roues motorisées sur les stationnements vélo

Au-delà de ces dispositions qui nous semblent aller dans le bon sens pour peu qu’elles soient vraiment intégrées dans les PDU et PLU, nous ne pouvons cependant que regretter le manque d’ambition du DOO dans son ensemble au regard des enjeux de la Plaine du Roussillon.

En effet, le DOO ne fait qu’entériner les projets routiers et les surfaces commerciales prévues de longue date :

Sur les projets routiers :

Au lieu d’investir dans les transports en commun et le report modal, le développement de ces projets routiers engouffrent les deniers publics pour reporter éternellement le problème de l’engorgement routier. Le premier tronçon de la rocade ouest a reporté le problème de l’entrée de ville à la clinique St Pierre, et le second tronçon, dont le financement CG a été acté par délibération du 23 juin 2013 (35M€), le reportera sur le péage sud de l’autoroute, dans une zone déjà engorgée par les pendulaires Perpignan / Canohès-Toulouges / Thuir et fort mal pourvue en transport en commun. Que ne pourrait-on faire de plus intelligent avec 35 M€ ? Enfin s’attaquer à la réactivation de l’étoile ferroviaire mentionnée dans le DOO, développer les transports en commun en site propre en cœur d’agglomération, et surtout augmenter l’offre pour voir vraiment les transports en commun utilisés ?

Ensuite, nous continuons à penser qu’un double barreau (RD22b / Pau de les colobres) sur le secteur sud-est ne se justifie pas, d’autant qu’il condamne l’utilisation du chemin de Pau de les colobres comme desserte agricole et support de modes doux vers Saleilles et Cabestany.

Sur ce point, la réponse que le SCOT nous a fait l’avoue très clairement (point 4/) : ‘les élus ont pris le parti de ne pas remettre en question les projets déjà engagés’.

Sur les surfaces commerciales prévues au DACOM :

Notre département est l’un des plus pourvus en France en zones commerciales de toutes sortes et en fort développement (voir diagnostic page 129 : « en une dizaine d’années seulement,le nombre des grandes et moyennes surfaces a doublé tout comme les surfaces commerciales passant de 232 000 m² à 472 000 m² pendant la même période. »).

Même constat que ci-dessus, chaque commune a négocié de conserver ses projets de création ou d’extension. Comment le même document peut-il avoir pour objectif de limiter la consommation d’espace, éviter l’étalement urbain, promouvoir le commerce de proximité et limiter leur transfert vers les zones commerciales hors centres urbains (§B.6.2 du DOO), en autorisant un tel développement de surfaces ?Les 153 000 m2 supplémentaires (augmentation de plus de 25% donc) autorisés par la CDAC sur le territoire du SCOT ne sont donc pas remis en cause, ce qui contribuera à développer la circulation automobile, la nécessité de dessertes routières (c’est d’ailleurs le premier enjeu développé dans le § C – Disposition applicables aux zones) et la poursuite de la consommation d’espaces agricoles. Les autres ‘dispositions applicables’ (Modes doux, Transports en commun) ne sont que pansements sur une jambe de plâtre.

En conclusion, si notre association espérait qu’un document de programmation comme le SCOT puisse contribuer à encadrer le développement urbain, routier et commercial anarchique que nous constatons et regrettons depuis longtemps, nous ne pouvons que regretter le manque d’ambition du document pour engager le territoire dans une véritable transition : il nous apparaît que le SCOT comporte des incompatibilités entre ses objectifs et les moyens qu’il se donne, et a fait de trop nombreuses concessions à des intérêts communaux et politiques.

Pour une véloroute de l’Atlantique à la Méditerranée

A l’initiative de l’Association Vélo de Toulouse et de l’AF3V (Association Française pour le développement des Véloroutes et Voies Vertes),un groupe de 35 cyclo-randonneurs est parti le 1er juillet d’Anglet sur la côte atlantique pour rejoindre en douze jours la Méditerranée. Cette randonnée a pour objectif de faire la promotion de la Véloroute du Piémont Pyrénéen (V81), projet inscrit dans le schéma national des Véloroutes et Voies Vertes et dans les schémas régionaux. Les Conseils Généraux des départements traversés sont en charge de la réalisation, mais aujourd’hui seulement 200 km sur un total de 600 km sont aménagés en véloroute. Sur leur passage les randonneurs, avec les associations cyclistes locales, dont Vélo en Têt, demanderont aux collectivités locales de faire avancer la réalisation de ce projet.

Après la traversée de l’Aude, où 59 km sur 66 sont déjà aménagés, la V81 entrera dans les Pyrénées-Orientales aux Gorges de Galamus pour rejoindre la Méditerranée au Barcarès. Aujourd’hui la véloroute n’existe qu’entre Rivesaltes et Le Barcarès (Voie Verte de l’Agly, 14km), pour l’itinéraire de Galamus à Rivesaltes tout reste à faire. Une étude du Conseil Général propose un itinéraire Saint-Paul-de-Fenouillet – Lesquerde – Maury – Tautavel – Cases-de-Pène. A cause de son dénivelé et la fréquentation automobile de certains passages, cet itinéraire ne répond pas au cahier de charges des véloroutes. Il met en évidence qu’il n’existe aucune liaison cyclable entre Saint-Paul et Maury et qu’on oblige le cycliste à faire 200 m de dénivelé et 3 km de plus que l’automobiliste, et que rien n’est prévue pour changer cette situation inacceptable.

Face à cette situation, l’AF3V et Vélo-en-Têt ont proposé au Conseil Général un itinéraire qui passe de Saint-Paul à Maury dans la vallée du Maury sur des chemins agricoles au sud de la D117, et de Maury à Éstagel par le Mas Amiel au nord de la D117. Cette réalisation demande des travaux d’amélioration du revêtement sur 8,5 km de chemins agricoles et la construction de 2­­km de piste cyclable sur un parcours dont la totalité est de 53 km. Cet itinéraire permettra aux cyclo-touristes de traverser notre département en toute tranquillité sans être gêné par le trafic motorisé et les habitants pourront enfin se rendre au village voisin avec un moyen de transport doux. Ainsi, la véloroute sera à la fois bénéfique pour l’activité touristique et utile pour l’habitant.

Pour soutenir la proposition de l’AF3V et Vélo en Têt, accompagnez les randonneurs sur la dernière étape le 12 juillet entre Maury et Le Barcarès, rejoignez les en route ou accueillez les à l’arrivée :

08:30 Départ Mairie de Maury

_ 16:00 Passage Mairie de Claira

_ 17:00 Arrivée Le Barcarès sur la plage

Si vous avez des questions, contactez nous par mail :

Pour plus d’information :

_ Site de la randonnée

_Dépliant de la randonnée

_ Vue d’ensemble de l’itinéraire proposé par l’AF3V

_Description détaillée de la proposition

Le gravage de votre vélo

Qui ne s’est pas déjà fait voler son vélo? Cela arrive sans prévenir, c’est rageant et ça peut être chronique. Résignés, on s’en remet à utiliser quotidiennement un vélo pas terrible alors que notre bon vélo dort au garage…

Outre l’utilisation d’un bon antivol et le suivi des quelques règles de « sécurité », vous pouvez aussi faire marquer votre vélo. D’une portée nationale, le marquage Bicycode est la gravure d’un numéro unique sur votre monture ainsi que la remise d’un document attestant de votre propriété. La présence de ce numéro dissuade les voleurs en compliquant la revente.

Mais c’est surtout pour récupérer votre objet adoré une fois volé que c’est utile ! En effet, seul 2% des vélos retrouvés par la police sont restitués, faute d’identification. Grâce au marquage, 10% revoient les propriétaires, soit 5 fois plus!

Pour la première fois à Perpignan, Vélo en Têt proposera une atelier de marquage du 15 au 17 mars 2013. En collaboration avec Énergie Citoyenne, cet évènement marquera le début de la Semaine de l’Environnement organisée par cette association étudiante.

Vendredi 15 mars :

-* campus de l’Université, à l’atelier vélo de Énergie Citoyenne, bâtiment D de la cité Universitaire (Suivre le fléchage à partir du haut du chemin Passio Vella)

-* de 10h00 à 18h00.

Samedi 16 mars:

-* Place de la République

-* de 09h00 à 18h00.

Dimanche 17 mars :

-* devant le Palais de Congrès

-* de 09h00 à 17h00.

Une information des services de police de l’existence du Bicycode et des procédures à suivre sera bien-sûr préalablement faite par l’association.

Inscrivez-vous

Ce genre d’évènement étant rarissime, vous pouvez (vous devez !) vous inscrire dès maintenant sur ce formulaire.

Il sera demandé seulement 3€ par vélo marqué pour simplement couvrir les frais de location de la graveuse et des numéros Bicycode.

Ce code sert uniquement à identifier le propriétaire d’un vélo retrouvé et n’a pas de caractère d’immatriculation comme pour les véhicules motorisés.

P.S.: 

« Vélo en Têt » et « Énergie Citoyenne » victime de leur succès…
Notre opération de gravage bicycode a connu un franc engouement de la part des cyclistes urbains… Notre estimation de 200 vélos à graver a été largement dépassée, puisque nous avons atteint ce nombre dès le dimanche 17 à midi, nous obligeant à laisser quelques cyclistes frustrés sur le bord du chemin…
Mais ils ne resteront pas frustrés longtemps… L’entreprise ERDF (route de Prades, avant la clinique Saint Pierre) organise une semblable opération « gravage bicycode » le vendredi 29, le samedi 30 et le dimanche 31 mars de 10h à 17h. Pas besoin de s’inscrire. Pour ceux qui seront allés se promener à pâques, « Vélo en Têt » proposera sans doute une autre opération courant septembre…