Bienvenue sur le site de Vélo en Têt !

Vélo en Têt rassemble les cyclistes quotidiens ou occasionnels qui sont convaincus que le vélo est un moyen de déplacement pratique, agréable et sain, ainsi qu’une solution à la congestion et la pollution de la ville.

Pour adhérer, c'est ici !

Notre objectif est à la fois de défendre la cause des cyclistes, en demandant un meilleur partage de l’espace public, des aménagements sécurisés, des cheminements pratiques et lisibles, et de faire connaître le vélo comme moyen de déplacement, dans tous ces aspects pratiques, sans oublier la santé, le loisir et le plaisir. Vélo en Têt s’intéresse donc aussi aux parcours de long cours qui traversent notre département (Véloroutes et Voies vertes).

Nous défendons également les autres mobilités douces (marche, transports en commun) et l’intermodalité, en militant pour un urbanisme intelligent et humain dans notre ville.

Chantier d'extension du parc Sant Vicens : pas de déviation pour les vélos !

Il y a bien une/des oreille/s qui nous écoutent à la Ville de Perpignan et une/des bouche/s qui ont donné des instructions suite à notre publication du 28 novembre au sujet des travaux d'extension du parc Sant Vicens : https://www.facebook.com/VeloEnTet/posts/3422907047821898

 

C'est une très bonne nouvelle, après de nombreuses années de communication compliquée avec les élus de la ville...

Rubrique: 

Saint Estève-Jonquilles-Un début prometteur ?

Un nouvel aménagement a vu le jour rue des Jonquilles à Saint-Estève. Il vient relier l'impasse de la Devèze, après le Tennis Club Stéphanois au cheminement doux longeant l'avenue des jardins.
Un aménagement très court mais intéressant à plus d'un titre.
Une belle piste double sens au départ, et un équipement bâclé à moitié sur trottoir à l'arrivée, le tout sur une voie résidentielle.
Quelle est la logique de conception ?

Projet d'aménagement des berges de la Basse

Les Services techniques de la ville de Perpignan ont pour projet d'aménager la rive gauche de la Basse pour les mobilités actives. Notre association propose depuis longtemps cet aménagement. En effet, la pratique du vélo pour les déplacements quotidiens nécessite des itinéraires sécurisés et continus. Le projet le long de la Basse vise à relier le centre ville à la zone Saint Charles. Il constitue donc un axe structurant majeur pour les déplacements quotidiens.

Rubrique: 

Avenue Albert Camus : encore un aménagement illégal et absurde !

Après les désastreux aménagements du bd Briand, de l'av. Torcatis ou encore de l'av. Joffre (pour n'en citer que quelques uns), voici le retour des cheminements sans queue ni tête qui font passer les cyclistes sur le trottoir au détriment de ses usagers légitimes (piéton, poussette, fauteuil, trottinette), puis traverser des routes sur les passages piétons, plaçant encore une fois le vélocipédiste dans l'illégalité.

Rubrique: 

Extension du parc Sant Vicens : suppression de la piste cyclable sécurisée et arborée de l'av. Mermoz

Créer ou agrandir les espaces verts perpignanais est une bonne idée mais pourquoi donc sacrifier une piste cyclable stratégique (dessert le Mas Guérido et Cabestany), sécurisée (séparation physique avec la circulation automobile) et arborée (haie de lauriers) ?
À la place, un parking d'une trentaine de places (qui n'existait pas avant) et plus de piste cyclable !
 

Rubrique: 

Projet de voie verte controversé entre Saint-Cyprien et Bages

Malgré les choix touristiques du tracé en zone humide, l'agulla de la mar n'en reste pas moins un axe structurant dans le schéma cyclable départemental, à la condition de son raccordement à des itinéraires cyclables correspondants aux flux quotidiens domicile-travail.
Il illustre le manque de concertation entre décideurs institutionnels et associations.

Un panneau bleu fait il une autoroute ?

En obligeant l’aménagement d’itinéraires cyclables à l’occasion des réalisations ou rénovation de voies, la loi dite LAURE (article 20 de la loi n° 96-1236 sur l’air et l’utilisation rationnelle de l’énergie) a enfin permis la prise en compte de ce moyen de déplacement dans les aménagements urbain et routier.
Cependant, même si ces textes sont la plupart du temps appliqués, qu’en est il des équipements cyclables proposés. La loi LOM et la loi LAURE ne permettent pas de contourner le code de la route et ses définitions.
Viendrait il à l’esprit d’un bureau d’étude ou d’une municipalité d’implanter une signalisation autoroutière sur une voie communale et cette signalétique serait elle suffisante pour transformer un chemin de vigne en Autoroute ?

Rubrique: 

Pages